JANE ♠ silence, silence. (done)

Citation :: BY CRISTALLINE.

DREAM TAKES OVER.

❧ special details :

Nom et prénoms : Je n’ai rien à voir avec la descendance de Naomi Campbell. D’une je n’ai pas le physique et encore moins la popularité. Dans ces cas là ayez plutôt à l’esprit le clan Campbell qui produit le whisky ou encore mieux, pensez au célèbre écrivain Joseph Campbell et vous serez un peu plus dans la bonne direction du commun accord. Je dois mon patronyme à mon père comme à peu près les trois quart des individus sur la planète. C’est un nom de famille comme un autre et je ne m’en plains pas tellement. Janelle, Catherine. Des prénoms simples que je dois à la figure maternelle, pour autant personne ne me m'appelle par mon véritable prénom, et donc si mes souvenirs sont bons et d'après les dires de mon entourage on m'a toujours surnommée Jane.

Lieu et date de naissance : 30 décembre 1989, sur l'ile.

Profession/études : Avant son accident, elle fréquentait les bancs de la faculté où elle étudiait la medecine générale. Aujourd'hui, elle s'obstine à bosser dans un bar de l'ile.

Groupe : Habitants.

Traits de caractères : obstinée - malicieuse - amnésique depuis son accident - calme - joueuse - tête en l'air - taciturne - silencieuse - apprécie les défis - solitaire - tête brulée - impulsive - sensible - enfantine - ronchonne - bougonne - ingénieuse ...

❧ mask falls :

Pseudo : BB. ou le pioupiou bleu JANE ♠ silence, silence. (done) 926661

Avatar (après avoir vérifié que celui-ci ne figure pas dans le bottin) : kristen stewart

Où avez-vous trouvé le forum ? bazzart l'ami (:

Commentaires ou dédicaces : sublime comme je l'ai déjà dit I love you

bravo au staff JANE ♠ silence, silence. (done) 380807

JANE ♠ silence, silence. (done) Img-195514o4kxx

BY TUMBLR.

❧ poetic anecdote :
✏ Une chambre blanche, dépourvu de gaité totale. Prise au piège de son conscient, elle avait les yeux fermés, des tuyaux lui obstruant nez et bras, une main tenue par son paternel qui s’interrogeait encore sur les causes de son accident. Comment peut elle avoir été la cible du hasard à ce point, n’avait il pas assez souffert ? Le hasard se mêlait toujours de tout alors autant se dire que tout allait bien se passer et que dans quelques jours, quelques heures, et quelques minutes, sa fille unique de dix neuf années allez sortir de ce trou béant et illusoire qu’est le coma. L’inspecteur avait beau se vouloir optimiste, il n’en demeurait pas moins que les médecins lui avaient dit de ne pas se leurrer, pour autant il ne voulait pas perdre espoir. La porte de la chambre de la clinique claqua dans un bruit audible, et il se retourna n’adressant guère une expression joyeuse au jeune homme qui vint à pénétrer dans la pièce. « Je pensais pourtant avoir été clair avec vous, Alec. ». Le dénommée Alec s’aventura davantage près du lit où reposait l’inconsciente et s’installa doucement sur lit, le regard vide faisant présentement face à l’influence paternelle de sa petite amie. « Il vous semble, certainement. Mais en ce qui me concerne je ne la laisserai pas sous prétexte de vos préjugés. ». Une œillade haineuse échappa alors au vieux ronchon, qui réticent à la présence d’Alec se leva d’un pas furibond. « Te poses-tu la question de sa raison d’être ici ? Penses-tu une seule seconde que tu devrais être à sa place ? Jane est ici par … ». Il n’eu guère le temps de poursuivre sa phrase que le jeune brun répliqua sur une répartie sans égale. « Vous pensez que je n’y songes pas tous les jours ? Je m’en veux assez pour mes erreurs, mais si elle est ici c’est aussi un hasard. Si le chauffeur du poids lourd ne c’était pas abreuver d’alcool … Elle ne serait pas dans cet état d’incertitude. ». Le jeune homme tenait fermement la main de la brunette, tandis que l’ainé le vrillait d’un regard assassin puis doucement la colère se dissipa de son expression faciale. « Si je ne te connaissais pas aussi bien Alec, je ne t’aurais jamais autorisé à être aussi proche d’elle. ». Certes ces deux là bossaient ensemble depuis près de deux années, mais le passé ne rapprochait pas toujours les gens. « Vous savez éperdument combien je tiens à Jane, inspecteur. ». Avait il soufflait d’une voix blanche qui trahissait quelques peu sa souffrance. Main dans les poches, le père célibataire se détourna déposant sa main sur la porte. « Prend soin d’elle le temps que je m’absente. J’ai des affaires à régler, ils ne s’en sortiront pas si facilement ! ». Il sortit derechef sans demander son reste, la vengeance dans l’esprit. Les minutes de silence défilèrent alors à la vitesse grand « v », mais rien ne semblait perturber le jeune inspecteur qui depuis quelques temps travaillait en tandem avec le chef Campbell. Caressant doucement la main de la muse silencieuse, il usa d’une voix murmurée. « J’aimerai que tu me pardonnes ma belle, et pour cela tu te dois de recouvrir le chemin de la lumière. Je t’en prie Jane, fait un effort ! ». Soudainement, les cils de la Campbell se froncèrent, puis plus doucement mais certainement elle finit par ouvrir ses prunelles azuréennes, le souffle quelques peu saccadé « Jane ... ». Dès lors, le grand brun l’embrassa sur le front soulagé de la voir de nouveau parmi les vivants - mobiles s’entend -. Jane, se sentait perdu s’interrogeant sur l’identité de la personne de tenant à ses cotés. Avait-elle perdue la tête ? Sa mémoire ? Vous visez juste, du moins pour le moment elle est partiellement amnésique, un trait qui joue en la faveur d’Alec mais pour combien de temps encore ?